Mais aucune de ces options ne nous amène un mieux-être. Nous restons
pollués par la « merde » des autres qu’ils ont déversée sur nous, ainsi que par toutes nos colères refoulées qui se sont mises à fermenter. Alors, rien ne va plus ! Nous tombons malades psychiquement, mais physiquement aussi, à la fin.
Lorsque les patients viennent me voir, ils disent « j’ai pardonné ! ». C’est ce qu’ils croient, car il y ont mis toute leur bonne volonté. Mais force est de constater qu’ils ne vont pas mieux.
En effet, à leur insu, ils ont bloqué leur circulation émotionnelle et du coup, ils n’ont plus d’énergie, tandis que leur mental tourne en rond en faisant le hamster avec ces 60 000 pensées par jour qui les épuisent.
Il faut donc faire juste le contraire : D’abord, on exprime tous nos ressentis, sentiments d’injustices et ensuite seulement, on pardonne.
Ce n’est pas simple !
C’est pourquoi je vous accompagne au travers de cette méditation. Il est question de
déprogrammer et reprogrammer autrement votre disque dur.
Pardonner ne signifie pas que l’on efface ce que l’autre nous a fait. C’est juste que l’on choisit d’arrêter d’en souffrir, en diminuant la charge émotionnelle négative qui nous plombe.
La plupart du temps, la personne qui nous a fait du mal ne nous demandera pas pardon. Donc, on lui pardonnera quand même, juste pour se libérer de tout ce poids douloureux et délétère.
L’expérience montre à quel point le fait de pardonner nous libère.
Voici donc une méditation que je vous offre. Je vous propose de la faire autant de fois que nécessaire, jusqu’à ce que vous ayez retrouvé la paix.
Cette méditation se fait avec une seule personne à la fois. Cette dernière n’a d’ailleurs pas à en être avertie, car la plupart du temps, elle s’en fout. Cela se passe entre vous et cette personne négativement intériorisée en vous.
D’ailleurs, nous avons souvent des griefs contre nos parents et n’osons pas le voir vraiment. Cela se nomme la
loyauté familiale qu’il convient de lâcher, car c’est une loyauté
à l’envers :
- en faveur du plus fort et en défaveur du plus faible.
Osez dire avec moi : « Ils ont fait du mieux de ce qu’ils ont pu, mais ce n’était pas des bons parents ! » Et ensuite, pardonnez-leur à l’aide de cette méditation.
C’est ce que j’ai fait de mon côté :
- j’ai constaté que mes parents n’étaient pas des bons parents
- je l’ai dit à haute voix.
J’ai ainsi appris à devenir une
bonne mère et un bon père pour moi-même. Je leur ai pardonné et maintenant, je me sens bien !
Je vous propose de rejoindre notre grande arche de Noé !
Vous pouvez la télécharger gratuitement via ce lien : <<< Méditation >>> Je vous souhaite une belle écoute et un bonne réparation durable.
